Le web de Dominique Guebey – Les belles lettres

Page : http://www.dg77.net/pages/sade/ph346.htm


   D o m i n i q u e   G u e b e y    J u n g l e      Les belles lettres

D.A.F. de Sade (1740-1814) La Philosophie dans le Boudoir (suite - Troisieme dialogue)

Il y aurait, sans doute, d’autres moyens par lesquels une femme, à la fois sensible et féroce, pourrait calmer ses fougueuses passions, mais ils sont dangereux, Eugénie, et je n’oserais jamais te les conseiller… Oh ! Ciel ! Qu’avez-vous donc, cher ange ?… Madame, dans quel état voilà votre élève !…

Eu, se branlant : Ah ! Sacredieu ! Vous me tournez la tête… Voilà l’effet de vos foutus propos !…

D : Au secours, madame, au secours !… Laisserons-nous donc décharger cette belle enfant sans l’aider ?…

S-A : Oh ! Ce serait injuste ! (La prenant dans ses bras.) Adorable créature, je n’ai jamais vu une sensibilité comme la tienne, jamais une tête si délicieuse !…

D : Soignez le devant, madame ; je vais avec ma langue effleurer le joli petit trou de son cul, en lui donnant de légères claques sur ses fesses ; il faut qu’elle décharge entre nos mains au moins sept ou huit fois de cette manière.

Eu, égarée : Ah ! Foutre ! Ce ne sera pas difficile !

D : Par l’attitude où nous voilà, mesdames, je remarque que vous pourriez me sucer le vit tour à tour ; excité de cette manière, je procéderais avec bien plus d’énergie aux plaisirs de notre charmante élève.

Eu : Ma bonne, je te dispute l’honneur de sucer ce beau vit. (Elle le prend.)

D : Ah ! Quelles délices !… quelle chaleur voluptueuse !… Mais, Eugénie, vous comporterez-vous bien à l’instant de la crise ?

S-A : Elle avalera… elle avalera, je réponds d’elle ; et d’ailleurs si, par enfantillage… par je ne sais quelle cause enfin… elle négligeait les devoirs que lui impose ici la lubricité…

D, très animé : Je ne lui pardonnerais pas, madame, je ne lui pardonnerais pas !… Une punition exemplaire… je vous jure qu’elle serait fouettée… qu’elle le serait jusqu’au sang!… Ah ! Sacredieu ! Je décharge… mon foutre coule !… Avale !… avale, Eugénie, qu’il n’y en ait pas une goutte de perdue !… Et vous, madame, soignez donc mon cul : il s’offre à vous… Ne voyez-vous donc pas comme il bâille, mon foutu cul ?… ne voyez-vous donc pas comme il appelle vos doigts ?… Foutredieu ! Mon extase est complète… vous les y enfoncez jusqu’au poignet !… Ah ! Remettons-nous, je n’en puis plus… cette charmante fille m’a sucé comme un ange…

Eu : Mon cher et adorable instituteur, je n’en ai pas perdu une goutte. Baise-moi, cher amour, ton foutre est maintenant au fond de mes entrailles.

D : Elle est délicieuse… et comme la petite friponne a déchargé!…

S-A : Elle est inondée !… Oh ! Ciel ! Qu’entends-je !… On frappe : qui peut venir ainsi nous troubler ?… C’est mon frère… imprudent !…

Eu : Mais, ma chère, ceci est une trahison!

D : Sans exemple, n’est-ce pas ? Ne craignez rien, Eugénie, nous ne travaillons que pour vos plaisirs.

S-A : Ah ! Nous allons bientôt l’en convaincre ! Approche, mon frère, et ris de cette petite fille qui se cache pour n’être pas vue de toi.