Le web de Dominique Guebey – Les belles lettres

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   D o m i n i q u e   G u e b e y    J u n g l e      Les belles lettres

D.A.F. de Sade (1740-1814) La Philosophie dans le Boudoir (suite - Cinquieme dialogue)

D : Fort bien, pour un début ; mais il est encore quelques épisodes que vous avez négligés.

S-A : Attendons : ils ne peuvent être en elle que fruit de l’expérience ; pour moi, je l’avoue, je suis fort contente de mon Eugénie ; elle annonce les plus heureuses dispositions, et je crois que nous devons maintenant la faire jouir d’un autre spectacle. Faisons-lui voir les effets d’un vit dans le cul. Dolmancé, je vais vous offrir le mien ; je serai dans les bras de mon frère : il m’enconnera, vous m’enculerez, et c’est Eugénie qui préparera votre vit, qui le placera dans mon cul, qui en réglera tous les mouvements, qui les étudiera, afin de se rendre familière à cette opération, que nous lui ferons ensuite subir à elle-même par l’énorme vit de cet hercule.

D : Je m’en flatte, et ce joli petit derrière sera bientôt déchiré sous nos yeux par les secousses violentes du brave Augustin. J’approuve, en attendant, ce que vous proposez, madame, mais si vous voulez que je vous traite bien, permettez-moi d’y mettre une clause : Augustin, que je vais faire rebander en deux tours de poignet, m’enculera pendant que je vous sodomiserai.

S-A : J’approuve fort cet arrangement ; j’y gagnerai, et ce sera pour mon écolière deux excellentes leçons au lieu d’une.

D, s’emparant d’Augustin : Viens, mon gros garçon, que je te ranime… Comme il est beau !… Baise-moi, cher ami… Tu es encore tout mouillé de foutre, et c’est du foutre que je te demande… Ah ! Sacredieu ! Il faut que je lui gamahuche le cul, tout en le branlant !…

Ch : Approche, ma sœur ; afin de répondre aux vues de Dolmancé et aux tiennes, je vais m’étendre sur ce lit ; tu te coucheras dans mes bras, en lui exposant tes belles fesses dans le plus grand écartement possible… Oui, c’est cela : nous pourrions toujours commencer.

D : Non pas, vraiment : attendez-moi ; il faut d’abord que j’encule ta sœur, puisque Augustin me l’insinue ; ensuite je vous marierai : ce sont mes doigts qui doivent vous lier. Ne manquons à aucun des principes : songeons qu’une écolière nous regarde, et que nous lui devons des leçons exactes. Eugénie, venez me branler pendant que je détermine l’énorme engin de ce mauvais sujet ; soutenez l’érection de mon vit, en le polluant avec légèreté sur vos fesses… (Elle exécute.)

Eu : Fais-je bien ?